Happy’In : une application pour les enfants

De belles séances avec contes hypnotiques pour les accompagner
Télécharger l'application dans Google PlayTélécharger l'application dans Apple Store

Chaque fois qu’un jeune enfant apprend quelque chose, des connexions se forment dans son cerveau.

En même temps que des connexions se créent, d’autres se structurent et d’autres encore, non utilisées finissent par disparaitre.

Cette capacité du cerveau à se transformer et évoluer s’appelle la plasticité cérébrale.
Le cerveau a besoin de se construire, de se structurer et de se développer énormément entre 0 à 1 an, et c’est pour cela que le bébé dort beaucoup. Car le cerveau et le corps se construisent et se répare plus rapidement quand ils dorment. Beaucoup de fonctions physiologiques sont au ralenti pour permettre au cerveau de se structurer et intégrer les évolutions.
La nuit, normalement, l’activité électrique du cerveau vibre en onde Delta, c’est-à-dire que l’activité électrique du cerveau vibre entre 0,5 à 4 Hz, celle du sommeil profond, sans rêves.

L’évolution du cerveau

Les connexions les plus stimulées se renforcent et celles qui sont inutiles ou qui fonctionnent mal sont éliminées. En se débarrassant ainsi de certaines connexions, le cerveau devient plus efficace.

Fréquence du cerveau différente en fonction de l’âge

frequence du cerveau happy'in

Comme vous le montre le schéma de gauche, durant l’enfance, le cerveau se transforme plus facilement car le cerveau vibre entre 4 et 13 Hertz , fréquence ou il apprend mieux, retient mieux, et crée plus.

C’est entre 2 et 10 ans, que le cerveau se transforme le plus facilement. Il peut ainsi se modifier pour s’adapter aux apprentissages de l’enfance et aux changements.

L’influence du milieu de vie sur le cerveau.

La plasticité cérébrale se modifie aussi si l’enfant vit un contexte traumatisant émotionnellement et  génère des répercussions négatives sur le plan physique, cognitif, social ou comportemental.

Cette capacité du cerveau à transformer ses connexions a des avantages, pour oublier ce qui ne fait plus parti de son environnement, comme des objets ou des lieux que l’enfant ne fréquente plus. Mais cela peut l’affecter aussi négativement quand il est confronté à l’éloignement ou la perte d’un parent, à des changements de domiciles successifs non expliqués, à des humiliations ou des trahisons. Tout ceci peut alors se transformer en croyances limitantes…

Ces croyances limitantes affectent davantage le cerveau d’un jeune enfant que celui d’un enfant plus âgé. Elles déstructurent le cerveau, au point de créer de fausses associations qui vont perdurer dans sa vie d’adulte en générant des difficultés d’adaptations.

En cas de stress, son cerveau demande à son corps de produire du cortisol, une hormone du stress. Cette hormone aide l’enfant à s’adapter à la situation et à mieux la gérer.

Si le stress normal du quotidien est utile, en revanche le stress devient mauvais lorsqu’il se prolonge, qu’il est fréquent et intense. On parle alors de stress chronique ou toxique. Par exemple, un enfant maltraité ou témoin d’importants conflits familiaux peut vivre dans un  stress toxique permanent.
Ce type de stress n’est pas bon pour un cerveau en développement. L’enfant pourrait être plus à risque d’avoir des problèmes de comportements. Mais tout n’est pas perdu, car le cerveau d’un enfant se transforme facilement. Plusieurs études démontrent en effet que les bonnes expériences, les bonnes reprogrammations, les douces intentions et les relations attentionnées lors de la petite enfance peuvent compenser les effets néfastes du stress chronique.

De même, lorsqu’un jeune enfant n’est pas stimulé ou qu’il l’est peu, le développement du cerveau se fait moins bien, car plusieurs circuits de neurones ne sont pas utilisés. Effectivement dans la nature des choses, toute fonction qui n’est pas stimulée tend à disparaître !

Les expériences de jeunesses sont donc importantes pour la croissance du cerveau. C’est pourquoi les parents ont un grand rôle à jouer. Mais en cas de troubles comportementaux nous ne sommes pas tous thérapeutes. Et c’est normal.

Happy’In sait que l’adage « Il est plus facile d’élever un enfant que de soigner un adulte » est une réponse à beaucoup de tristesse et de troubles de l’âge adulte. C’est pour cela qu’elle n’oublie pas les enfants dans son application.

Car les enfants d’aujourd’hui seront les adultes qui imagineront la société de demain.

L’hypnose pour les enfants est plus simple à mettre en œuvre car un enfant se laisse raconter des histoires sans intellectualiser celles-ci. Son cerveau ayant une plasticité plus grande. Ainsi le message passe plus facilement au niveau inconscient et il évolue plus rapidement.
Réapprendre au cerveau de votre enfant son potentiel inné, lui permettra de grandir, sûr de lui, libre de ses expériences négatives et de ses croyances limitantes.

Le bon sommeil d’un enfant est aussi un moyen de favoriser le développement de son cerveau. Quand votre enfant dort, son cerveau se repose, mais il n’est pas inactif. En effet, le cerveau consolide les apprentissages en les mettant en mémoire et il continue à faire des connexions entre les neurones. D’ailleurs, toutes les expériences, et les séances d’hypnose s’intègrent et se digèrent pour restructurer les connexions neuronales la nuit, lors d’un sommeil tranquille.

Les neurosciences nous prouvent que la plupart des zones du cerveau arrivent à maturité vers 25 ans. Par la suite, des connexions continuent à se faire et à se défaire, mais plus lentement que pendant la petite enfance. Il est donc primordial de prendre soin du cerveau de nos jeunes enfants.

Happy’In reprend les grands troubles classiques et en fait de belles fables hypnotiques pour réparer les fausses associations et les croyances limitantes pour que votre enfant soit heureux fier d’être qui il est !